logo
#

Dernières actualités avec #Gabriel Attal

« Un duel gagnant-gagnant » : Bruno Retailleau et Gabriel Attal, les meilleurs ennemis du « socle commun »
« Un duel gagnant-gagnant » : Bruno Retailleau et Gabriel Attal, les meilleurs ennemis du « socle commun »

Le Parisien

time21-07-2025

  • Politics
  • Le Parisien

« Un duel gagnant-gagnant » : Bruno Retailleau et Gabriel Attal, les meilleurs ennemis du « socle commun »

Ces derniers jours, Bruno Retailleau et Gabriel Attal ont rapidement échangé par téléphone. Les deux patrons de parti (Les Républicains pour le premier, Renaissance pour le second) ont discuté des possibilités d'accord concernant les trois élections législatives partielles à venir, au plus tard mi-octobre. « Ils se parlent quand il le faut », rapporte un proche du ministre de l'Intérieur. Et seulement quand il le faut. Car les deux hommes, qui se revendiquent de familles de pensée aux antipodes, sont devenus des adversaires politiques. « Un duel singulier, note un proche de l'ex-Premier ministre, car ils soutiennent un même gouvernement sans avoir de projet commun. »

Budget : François Bayrou propose de « nouvelles négociations aux partenaires sociaux sur l'assurance chômage »
Budget : François Bayrou propose de « nouvelles négociations aux partenaires sociaux sur l'assurance chômage »

Le Parisien

time15-07-2025

  • Business
  • Le Parisien

Budget : François Bayrou propose de « nouvelles négociations aux partenaires sociaux sur l'assurance chômage »

Six mois après, rebelote. Le sujet de l 'assurance chômage revient sur le devant de la scène politique. Après avoir modifié à l'automne les conditions d'indemnisation des travailleurs saisonniers et des seniors, François Bayrou a annoncé de nouvelles concertations avec les partenaires sociaux sur les contours d'une réforme de l'assurance chômage mais aussi sur « le droit du travail ». Son objectif ? « Lever les obstacles qui tiennent pour beaucoup les Français éloignés du travail ». « Nous devons avoir comme but que le travail soit toujours un choix gagnant et qu'il n'y ait plus aucun frein au fait de travailler ou de travailler plus » , ajoute le Premier ministre François Bayrou. Plus globalement, cette négociation vise à désendetter ce régime afin d'atteindre, conjointement aux autres mesures, l'objectif budgétaire de 40 milliards d'euros d'économies d'ici à 2026. Le gouvernement Bayrou pourrait s'inspirer d'un texte précédent porté en juin 2024 par Gabriel Attal alors Premier ministre. « On devrait atterrir pas très loin de la précédente copie d'Attal d'il y a un an. Mais ce n'est pas une réforme qui apporte des gains immédiats », nous avait indiqué en amont un conseiller gouvernemental . Sans détailler le contenu des futures négociations, la mesure portée par Gabriel Attal à l'Assemblée nationale pourrait être reprise par le gouvernement. La proposition de l'ancien Premier ministre contient deux mesures phares. La première consisterait à réduire la durée maximale d'indemnisation de 18 à 15 mois pour les moins de 55 ans. Une seconde est également évoquée par Gabriel Attal, celle de revenir sur la durée de travail pour ouvrir les droits à l'allocation chômage. Actuellement, il faut avoir travaillé six mois sur les 24 précédant la perte du contrat pour en bénéficier. La proposition de loi de Gabriel Attal ferait passer ce ratio de 8 mois sur les 20 derniers. Si ce projet de loi aboutissait réellement, le gouvernement tablerait sur des économies à hauteur de 4 milliards d'euros.

À quoi ressemblerait un système de retraites « à la carte », sans âge légal de départ ?
À quoi ressemblerait un système de retraites « à la carte », sans âge légal de départ ?

Le Figaro

time13-07-2025

  • Business
  • Le Figaro

À quoi ressemblerait un système de retraites « à la carte », sans âge légal de départ ?

Réservé aux abonnés DÉCRYPTAGE - L'ancien premier ministre Gabriel Attal a remis sur la table l'idée d'un système universel, où l'âge de départ ne serait plus la composante principale. Une tentative de s'extirper de débats insolubles. « Non à la retraite à 64 ans. » C'était le principal mot d'ordre scandé lors des manifestations de 2023 contre la réforme d'Élisabeth Borne, instaurant ce report de l'âge légal de départ à taux plein à horizon 2030. Politiquement, modifier ce chiffre revient toujours à allumer un bâton de dynamite. Encore plus aujourd'hui, l'Assemblée nationale disposant d'une majorité pour abolir la dernière réforme si la gauche et l'extrême droite s'unissaient en ce sens. Mettre en place un système sans âge légal de départ, comme c'est déjà le cas dans certains pays européens, pourrait permettre de sortir par le haut de ce sempiternel conflit. Une idée remise sur le métier par la CFDT, mais aussi Gabriel Attal. « Il faut mieux piloter le système plutôt que de le réformer à coups de campagne présidentielle tous les cinq ans », a martelé Marylise Léon, secrétaire générale de la CFDT, le 10 juin sur Franceinfo, quelques jours avant l'issue malheureuse du « conclave » des partenaires sociaux…

TÉLÉCHARGER L'APPLICATION

Commencez dès maintenant : Téléchargez l'application

Prêt à plonger dans un monde de contenu mondial aux saveurs locales? Téléchargez l'application Daily8 dès aujourd'hui sur votre app store préféré et commencez à explorer.
app-storeplay-store